Et voilà que ça recommence ! !

En Avril 2007 ne te découvre pas d’un fil, garde toi de l’Ordre des avocats de Paris. Voici qu’il repart à l’attaque contre sa  bête noire : l’avocat Bernard MERY ! 

On aurait pu croire que la défaite sanglante de l’Ordre l’aurait assagi. Toutes ses sommités contre un seul homme, qui finalement ont mordu la poussière.

Ces Messieurs disposent de l’arme absolue, celle de faire régner la terreur au nom de ces termes fumeux qui n’ont de limites que celles qu’ils leur attribuent eux-mêmes, donc leur bon plaisir : «la dignité, l’indépendance, la probité, humanité et le respect les principes de l’honneur, de loyauté, de désintéressement, de confraternité, de délicatesse, de modération et de courtoisie… ». Or ces Messieurs n’ont même pas l’esprit chevaleresque, ils n’acceptent pas leur défaite, ne respectent pas la décision des juges, acquise par la seule force du raisonnement de droit. Que faire face à la force écrasante d’un ordre tout puissant ?

L’ordre des avocats ne craint pas d’être ridiculisé, il l’a déjà été. Sans cesse, il revient sur les lieux de son crime et s’il ne peut tuer ni éliminer physiquement, il tentera de le faire moralement.

Ainsi après avoir tenté de faire interné l’avocat et ayant échoué, après avoir radié ce même avocat sur le fondement de18 cas, aucun ne suffisant à lui seul, donc en remplissant un sac de faits hétéroclites anodins, et après avoir dit que tous réunis, constituaient, selon leur pourvoir souverain, des faits contre l’honneur….et après que cette ineptie ait été cassé et annulé par la Cour de Cassation pour 14 cas et infirmé pour les 4 cas restant, cas unique dans l’histoire des avocats de France, l’avocat radié a été rétabli dans ses fonctions, par le seule force de la loi et des juges.

Certes, il peut y avoir de l’amertume pour un avocat d’avoir été rabaissé à la situation de celui qui est parti avec la caisse de CARPA ou celui qui a été accusé de viol sur mineur ou de pédophilie… Mais à leurs yeux, Me Bernard MERY avait commis une faute plus grave encore, celle d’avoir dénoncer les petites magouilles qui se pratiquent dans la justice au nom de la fraternité et l’appartenance à des loges, non plus de pensées, mais d’influence.

Un fois encore, il ne s’agit pas de s’en prendre à la franc-maçonnerie, mais à ceux qui se servent de la franc-maçonnerie pour organiser les passes droits et contourner la loi pour arriver à des avantages injustes. Ceux-ci agissent en prédateurs selon le système de l’Omerta et le secret. Ils contrôlent notamment les avocats dans l’organisation d’une surveillance tendant à auto protéger les membres du groupe, à briser toute révolte, à casser toute application et aboutissement du droit qui n’irait pas dans leur propre intérêt.

Et voici le nouveau coup de l’Ordre des avocats du barreau de Paris.

Un avocat (double décoration rouge et bleu) ordonne à l’Ordre des avocats de Paris d’ouvrir une procédure disciplinaire contre Me Bernard MERY qui défend son client contre le trésor public. Il invoque en effet le fait que cette défense fait perdre du temps et de l’argent au trésor.

Tous les actes judiciaires de protections deviennent à ses yeux des abus et sont dénoncés auprès de l’Ordre. L’avocat écrit alors une lettre, visée par la confidentialité des lettres entre avocats, pour dire que ses six lettres de dénonciation «fleurent bon les lettres de dénonciation envoyées à la Gestapo »

L’Ordre des avocats jubile. On tient le félon. Cette écriture porte atteinte à l’honneur de l’avocat bleu et rouge, or porter à l’honneur de ce genre d’avocat est constitutif d’un manquement à l’honneur d’une gravité identique à l’escroquerie, aux détournements fonds et autres crimes crapuleux contre les biens et les personnes.

L’action de délation de l’avocat protégé est de son côté décidée sereine, inattaquable, tous crient haro sur l’ancien avocat radié.

Mieux, pour justifier de cette nouvelle poursuite, l’Ordre affiche sa maladie obsessionnelle de haine et rattache cette nouvelle procédure à celle qu’il a perdue :

«le caractère répété et systématique des accusations de Monsieur MERY à l’encontre des Magistrats, des Experts ou des confrères se trouve à nouveau illustré par l’imputation faite à Monsieur Pierre Chaigne de se comporter en délateur au bénéfice de la Gestapo…

Est un manquement analogue, même si le rapport d’instruction n’en parle pas, le fait d’avoir par mesure d’intimidation, cité en correctionnelle …Monsieur Pierre Chaigne et Madame SARZIER, Vice Procureur de la République … pour injures raciales… »

Or, Bernard MERY n’a jamais cité ces personnes, elles ont été citées par son client directement… L’Ordre des avocats veut donc punir l’avocat qui n’a pas interdit à son client de se défendre et de plus l’Ordre des avocats décide de juger sur ce qui n’a pas été instruits.

L’avocat instructeur a posé cette question à Me Bernard MERY : Etes-vous solidaire de vos clients ? Oui entraîne à la radiation, non entraîne au salut et au pardon.

L’Ordre des avocats exigent que les avocats trahissent leurs clients dans leurs dos.

Pire l’Ordre des avocats attaque un avocat qui est son adversaire, tant au pénal qu’au civil, contrairement aux principes essentiels du droit français et européen.

Au pénal l’Ordre des avocats se disait diffamé et réclamait 500 000 Francs de Dommages et intérêts, il a obtenu 1franc.

Au civil, Il est demandé à l’Ordre des avocats de réparer le préjudice qu’il a causé à Monsieur MERY, un jugement sera rendu le 9 mai prochain.

L’Ordre des avocats n’a cure des règles de droit, il se dit capable de juger selon son bon plaisir son adversaire, quant il veut.

Il évident que cet ordre se disqualifie et montre ainsi qu’il est aux ordres des loges, qui comme le grande Orient de France s’était vanté d’avoir obtenu lui même la radiation de Bernard MERY.

La mémoire des loges est tenace et rancunière. Pauvre Justice que celle de la France avec de tels hommes à des postes aussi essentiels.

Je persiste à vouloir défendre envers et contre tous. Comment pourrait-il en être autrement ?